Le nouvel Economiste – Le Soft power dans les grandes écoles
Les frottements interculturels font certes les bénéfices d’aujourd’hui, mais pour demain, les enjeux de l’internationalisation des grandes écoles – la formation des élites des pays en fort développement – sont d’une intensité remarquable pour notre économie. La formation de futurs “ambassadeurs” passés par les business schools et écoles d’ingénieurs a un rôle décisif pour le rayonnement international de l’économie française. Ah, ces atouts du “soft power” démultiplié par des réseaux d’anciens bien implantés !