Alyette Tritsch, lauréate du prix Claude Erignac 2017

Le 3 octobre prochain, en marge du Sommet de la Francophonie, Paris accueillera la première édition d'AFRICA Day, un événement incontournable célébrant l'excellence africaine et s'adressant aux étudiants de France, aux jeunes professionnels, et à la diaspora. Organisé par la French-African Foundation et Sciences Po, en partenariat avec Jeune Afrique Media Group, Concerto, le Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, OCP UM6P et BCG, AFRICA Day rassemblera près de 800 jeunes pour échanger avec des leaders influents du continent. Cet événement mettra en lumière l’excellence africaine dans toutes ses dimensions : de l’innovation à la finance, en passant par les industries culturelles et créatives, l’entrepreneuriat, et le sport. Nous explorerons les solutions africaines pour la transition énergétique et le regard que le continent porte sur le monde à travers ses industries créatives. Nous sommes également honorés de confirmer la participation de trois chefs d'État. Nous nous réjouissons particulièrement de la présence du Président de la République Islamique de Mauritanie, Mohamed Ould El Ghazouani qui sera présent pour échanger avec la jeunesse sur les défis et réussites du continent. Le programme inclut des interventions de personnalités telles que : Clare Akamanzi, CEO of NBA Africa ⁠Emmanuelle Blatmann, Directrice d'Afrique et de l'océan Indien, MEAE Claude Borna, Director, Sèmè City Development Agency Patrick Dupoux, Directeur senior de BCG Nicolas Dufourcq, Directeur général de Bpifrance Serge Ekué, Président, BOAD Hicham el Habti, Président de l’Université Mohammed VI Polytechnique Gagan Gupta, Fondateur et CEO, Arise IIP Amadou Hott, économiste et ancien ministre sénégalais Fally Ipupa, artiste engagé Philippe Labonne, Président d’Africa Global Logistics   Arancha Gonzalez, doyenne de PSIA“Le 3 octobre, Sciences Po ouvrira ses portes pour accueillir les étudiants des grandes écoles parisiennes et les récents diplômés, afin de mettre en lumière le riche patrimoine et les innovations vibrantes de l’Afrique. À l’occasion du Sommet de la Francophonie et en partenariat avec la French- African Foundation, Africa Day nous permettra d’imaginer ensemble un avenir où l’excellence africaine brillera sur la scène mondiale. Cette mission est au cœur de Sciences Po, avec ses programmes centrés sur le continent à tous les niveaux d'études, son réseau de 34 universités africaines partenaires et une collaboration unique avec la Fondation Mastercard offrant des bourses dédiées aux étudiants d'Afrique subsaharienne." Arancha Gonzalez, doyenne de Paris School of international Affairs (PSIA) de Sciences Po “À la French-African Foundation, nous avons pour mission de révéler les talents africains et français à travers des leaders engagés pour l'excellence du continent. AFRICA Day est une opportunité unique de donner de la visibilité aux réussites africaines et d'inspirer les jeunes à se projeter professionnellement en Afrique. Co-organisé avec Sciences Po, cet événement permet d'encourager les investissements, l'innovation et la création, tout en montrant l'excellence africaine dans tous les domaines. “ Nachouat Meghouar, directrice générale de la French-African Foundation Les inscriptions sont ouvertes sur theafricaday.com. A propos de la French-African Foundation: Depuis sa création en 2019, la French-African Foundation s'engage à valoriser de nouvelles générations de leaders africains et français, actifs dans les domaines économiques, culturels et institutionnels. Elle promeut l'excellence africaine et le renforcement de partenariats franco-africains. Son programme emblématique, "Young Leaders", placé sous le haut patronage du Président de la République française et du chef d'État africain hôte de chaque promotion, repère et accompagne des talents prometteurs. La Fondation a ainsi créé le premier réseau panafricain de jeunes professionnels africains et français. Parmi ses partenaires figurent des institutions de premier plan telles que le Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, Africa Global Logistics, Concerto, Danone, Boston Consulting Group et Rothschild & Co. Sciences Po et le continent africain Sciences Po est l’université française qui envoie le plus d'étudiants effectuer une partie de leurs études en Afrique et l’une des universités européennes comptant le plus de partenariats universitaires actifs sur ce continent (34 au total). En retour, elle accueille près de 700 étudiants de 46 nationalités africaines au sein de sa communauté étudiante. L'Executive Education de Sciences Po dispense par ailleurs des programmes de formation continue à destination spécifique des dirigeants, cadres et managers des secteurs privé et public en Afrique. Elle a également noué des partenariats ciblés comme le Mastercard Foundation Scholars Programme qui a vocation à créer des conditions d’accès à une éducation inclusive et d’excellence pour les jeunes originaires d’Afrique subsaharienne. Sa recherche porte aussi bien sur la compréhension de l'Afrique que sur des sujets plus globaux (dérèglement climatique et écologie, développement économique, mondes urbains, révolution numérique, cybersécurité, enjeux de sécurité, industries culturelles et créatives, etc.). Elle se nourrit des nombreuses collaborations scientifiques nouées avec les unités de recherche de ses partenaires universitaires africains. Enfin, le réseau d’Alumni de Sciences Po y est très actif avec environ 1 000 diplômés de Sciences Po présents en Afrique.

Paris, le 20 mars 2024 - En tant qu'université internationale de recherche en sciences humaines et sociales occupant une place singulière dans le débat public sur les grandes transitions, Sciences Po s’empare de l’enjeu des transformations numériques en créant un institut pluridisciplinaire à la croisée des chemins entre sciences humaines et sociales et sciences exactes : l’Institut libre des transformations numériques. L’Institut libre des transformations numériques a pour ambition d’aider les décideurs et les citoyens de demain à mieux comprendre, appréhender et utiliser les technologies numériques, en écho avec la mission de Sciences Po, « comprendre son temps pour agir sur le monde ». Il confirme le positionnement de l’institution comme université de recherche de référence à l’échelle mondiale sur les transformations numériques et les politiques publiques correspondantes. Créé dans le cadre du projet TIERED (“Transforming Interdisciplinary Education and Research for Evolving Democracies”) lauréat de l’appel à projets ExcellencES, cet institut promeut le dialogue entre les sciences humaines et sociales organisées autour des disciplines fondamentales de Sciences Po (sciences politiques, économie, droit, histoire, sociologie) et les autres secteurs des sciences. Il s’appuie à cette fin sur les partenaires de TIERED : le CNRS, l’INRIA, l’INED, l’INSERM, l’IFREMER, l’INALCO, l’Université Paris Cité et l’IDDRI. Cette mise en dialogue permettra l’analyse des transformations numériques sous différents prismes (historiques, économiques, juridiques, sociologiques et politiques), leur documentation et une meilleure compréhension de leurs mécanismes sous-jacents. Par ailleurs, opérant à l’intersection entre la recherche, la formation et la diffusion auprès de différents publics, y compris les décideurs publics, l’Institut a l'ambition de contribuer à l’élaboration de politiques publiques.   Pour servir cette ambition, l’Institut se fixe trois priorités : L’expérimentation : l'Institut souhaite fournir aux étudiants et aux chercheurs les outils nécessaires pour expérimenter les technologies numériques, comprendre leur fonctionnement, les mettre à l’épreuve, et donner aux sciences humaines et sociales les moyens de participer pleinement à la construction d’outils numériques originaux. Une reconnaissance de la pluralité des contextes  : l'Institut va analyser l'impact des technologies numériques sur la société, en tenant compte de la diversité des utilisateurs et des usages qu’elles suscitent, ainsi que de la variété des environnements institutionnels dans lesquels elles se déploient. L’ouverture : l'Institut promeut l'ouverture à trois niveaux entre les disciplines traditionnelles des sciences humaines et sociales et les autres disciplines scientifiques ; vis-à-vis du grand public, y compris à travers les dispositifs de science ouverte et participatives ; et vers les secteurs non académiques (entreprises mais aussi arts, culture, etc.) qui offrent des perspectives alternatives aux usages des technologies numériques.   Portant des travaux transversaux au sein de Sciences Po, l’Institut intervient sur trois dimensions : Renforcer la cohérence de l’offre pédagogique sur les thématiques du numérique pour donner aux étudiants les outils pour comprendre et accompagner les transformations numériques, et les doter des compétences requises dans un monde numérisé et en évolution permanente. Promouvoir une recherche interdisciplinaire visant à mieux saisir les technologies numériques innovantes dans leurs contextes - social et institutionnel - d’utilisation. Inclure des acteurs non académiques dans ses actions pour contribuer au débat public et à la diffusion des connaissances   Plusieurs projets sont d’ores et déjà en cours de développement : Un appel pour un nouveau programme de professeurs invités a été lancé pour l’année académique 2024-2025 sur le thème « IA et démocratie ». Une formation en sciences sociales computationnelles va être lancée à horizon 2025 à l’Ecole de la recherche Un « laboratoire d'autopsie des algorithmes » est en cours d’élaboration pour offrir un espace ouvert aux étudiants, aux chercheurs, à la société civile et aux décideurs politiques pour tester et comprendre l'impact des algorithmes sur la vie quotidienne et les résultats des différentes réglementations algorithmiques (en collaboration avec le CNRS) Une action exploratoire avec l’Inria sur la haine en ligne et les biais culturels dans l’IA est en discussion pour septembre 2024.   L’Institut est placé sous la direction de Jean-Philippe Cointet, professeur au médialab. Carly Hafner est secrétaire générale. « En tant qu’université de recherche de rang mondial, Sciences Po porte l’ambition de proposer des réponses aux grands enjeux contemporains, notamment les transformations numériques. En adoptant une démarche pluridisciplinaire, de dialogue avec les autres sciences et d’ouverture à tous les publics, l’Institut pour les transformations numériques permet aux sciences humaines et sociales de s’emparer pleinement du sujet. L’un de nos défis principaux sera de faire entendre la singularité de cette voix dans un espace déjà très saturé et où dominent souvent des discours techno-déterministes sur le numérique. Ses actions contribueront à installer Sciences Po sur la carte des grandes universités internationales où se pense, s’expérimente et s’imagine l’articulation entre numérique et société », Jean-Philippe Cointet, directeur de l’Institut libre des transformations numériques. Le projet TIERED bénéficie d’une aide de l’Etat gérée par l’Agence nationale de la recherche au titre de France 2030 portant la référence ANR-22-EXES-0014.     « Démocratie.ai » A l'occasion de ce lancement, une conférence est organisée le 21 mars 2024 de 19h à 21h Diffusion en direct et en replay sur la chaîne YouTube de Sciences Po : https://www.youtube.com/live/Afwf4C5H4z0?si=_iNBrDqWNX2NSXQ7   Sont réunis autour de chercheurs de Sciences Po : Jean-Philippe Cointet (médialab), Beatriz Botero Arcila (Ecole de Droit), Jen Schradie (CRIS), Kevin Arceneaux (CEVIPOF), Kalli Giannelos (CEVIPOF) : ● Les universitaires américains Ethan Zuckerman, professeur associé, University of Massachusetts Amherst, et Pablo J. Boczkowski, professeur, Northwestern University et membre de l’Institute for Advanced Study à Princeton (2023-2024), ● Un représentant d’un grand organisme de recherche publique français partenaire du projet : Benoît Rottembourg, responsable Regalia, Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria), ● Des représentants des médias et de la communication : Grégoire Lemarchand, rédacteur en chef investigation et numérique à l’AFP, et Benoît Loutrel, membre du Collège de l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM)     À propos de Sciences Po Depuis 1872, Sciences Po se donne pour mission de former des esprits libres et des acteurs engagés au service de la société. Elle place l’excellence académique et l’ouverture sociale au cœur de ses valeurs. La singularité de son projet pédagogique s’illustre par une démarche pluridisciplinaire ancrée dans les sciences humaines et sociales, une forte ouverture internationale et une capacité à allier savoirs fondamentaux et expertise professionnelle grâce à ses 290 enseignants-chercheurs et 4600 enseignants vacataires. En tant qu’université de recherche de rang mondial forte de onze centres de recherche, Sciences Po assume une responsabilité sociale en proposant des réponses aux grands enjeux contemporains, au premier rang desquels les transformations environnementales et numériques, les évolutions de l’action publique et la lutte contre les inégalités et les discriminations. Condition indispensable de la démocratie et du progrès social, la défense de la liberté académique figure au cœur de son projet universitaire. Chaque année, l’institution forme 15 000 étudiants dont 50% d’internationaux sur sept campus (Dijon, Le Havre, Menton, Nancy, Paris, Poitiers, Reims) au sein d'un Collège universitaire de premier cycle et dans sept écoles au niveau Master (affaires internationales, affaires publiques, droit, journalisme, management, recherche, urbanisme). 3 500 professionnels suivent également une formation continue. Contact presse : Romain Becker : media@sciencespo.fr / 01 45 49 50 79

Paris, le 27 février 2024 - Sciences Po, en tant qu’université internationale de recherche de rang mondial, s’est engagé depuis février 2022 à poursuivre et enrichir ses travaux, ainsi qu’à étudier et enseigner les enjeux liés à l'agression russe en Ukraine. Plusieurs de ses centres de recherche œuvrent pour apporter leur contribution à la compréhension des événements, en particulier le Centre de recherches internationales (CERI). Deux ans après le déclenchement de la guerre par la Russie, les chercheurs du CERI, centre d’excellence et de référence sur les relations internationales et en politique comparée, éclairent en continu les enjeux, évolutions et impacts du conflit ukrainien sur l’Europe et le monde.   Programme des conférences :  L'Eurasie à l'épreuve d'une guerre longue en Ukraine - le 26 février La publication de Regards sur l'Eurasie. L'année politique 2023, dans la collection « Les Etudes du CERI » (n°273-274), sous la direction d’Anne de Tinguy, professeure des universités et chercheuse émérite au CERI, revient sur le choc provoqué par la guerre et sur le poids des différents acteurs en présence. Elle propose des clefs de compréhension des événements et des phénomènes qui marquent de leur empreinte les évolutions d’une région, l’espace postsoviétique, en profonde mutation depuis l’effondrement de l’Union soviétique en 1991. Forte d’une approche transversale qui ne prétend nullement à l’exhaustivité, elle vise à identifier les grands facteurs explicatifs, les dynamiques régionales et les enjeux sous-jacents.   Ukraine, deux ans après l'envoi des forces armées russes à Kiev - le 27 février Une conférence débat est organisée à l'occasion de la parution du hors-série Déchiffrer 2024 de la revue Alternatives Économiques (n° 128 Janvier 2024) dont le dossier spécial Ukraine est réalisé en partenariat avec le CERI.  Après une introduction de Stéphanie Balme, directrice du CERI, la parole sera donnée à Denys Gorbach (Sciences Po-CEE), Anne Le Huérou (Université Paris Nanterre) et Quentin Couvreur (Sciences Po-CERI). Ensemble, ils débattront du conflit russo ukrainien, des conséquences en Ukraine et à l'international, deux ans après l'envoi des forces armées russes à Kiev. Parmi les questions soulevées : Les revers militaires russes et les sanctions occidentales ont-ils affaibli le régime de Vladimir Poutine ? De quelles manières la guerre a-t-elle transformé la société et le pouvoir politique en Ukraine ? Quelle est la stratégie internationale de la Chine à la faveur du conflit ? L’Allemagne a-t-elle tiré les conséquences des bouleversements géopolitiques en cours ? Programme détaillé et intervenants sur le site du CERI.   La guerre permanente. Pourquoi Vladimir Poutine préfère la guerre à la paix - le 29 février Une conférence débat est organisée pour la parution du livre de Marie Mendras, La guerre permanente - L'ultime stratégie du Kremlin, paru chez Calmann Lévy (2024). Dans son livre, Marie Mendras interroge et analyse la stratégie et les craintes de Vladimir Poutine révélées par le lancement de cette cinquième guerre depuis 1999 (Tchétchénie, Géorgie, Donbass, Syrie et Ukraine).  “Ce que craint Poutine plus que tout, c’est la démocratisation des anciennes républiques soviétiques et leur émancipation de la tutelle d’un État russe prédateur. Pour assurer la survie de son pouvoir, il mène une guerre de destruction et sacrifie les soldats russes en grand nombre. Mais il n’avait anticipé ni la résistance des Ukrainiens ni le soutien des pays occidentaux. La guerre permanente n’a fait qu’accentuer la répression à l’intérieur et fragiliser la Russie à l’extérieur. En livrant à l’Ukraine une guerre ingagnable, Poutine enferme les Russes dans une confrontation majeure avec l’Europe, l’Amérique du Nord et le Japon, et entraîne son pays vers l’abîme.” Intervenante : Marie Mendras, Sciences Po - CERI & CNRS  ; Discutant :  Jacques Rupnik, Sciences Po - CERI  Programme détaillé sur le site du CERI Parution de L’Europe face à l’Ukraine (éditions PUF) - Sylvain Kahn Enseignant et chercheur au Centre d’histoire de Sciences Po, Sylvain Kahn  livre son analyse de l’impact du conflit sur les Européens.  raconte la métamorphose de l'Europe. “Face au conflit en Ukraine, depuis deux ans, et peu de temps après la crise du Covid, les Européens historiquement apaisés doivent prendre parti dans cette guerre. Ils se rendent compte combien ils sont devenus, ensemble, différents et singuliers. En 2024, défiés par la violence du projet géopolitique russe, choisiront-ils la vulnérabilité ou la robustesse ?” Lire son interview sur le site de Sciences Po : cliquer ici. À propos de Sciences Po Depuis 1872, Sciences Po se donne pour mission de former des esprits libres et des acteurs engagés au service de la société. Elle place l’excellence académique et l’ouverture sociale au cœur de ses valeurs. La singularité de son projet pédagogique s’illustre par une démarche pluridisciplinaire ancrée dans les sciences humaines et sociales, une forte ouverture internationale et une capacité à allier savoirs fondamentaux et expertise professionnelle grâce à ses 290 enseignants-chercheurs et 4600 enseignants vacataires. En tant qu’université de recherche de rang mondial forte de onze centres de recherche, Sciences Po assume une responsabilité sociale en proposant des réponses aux grands enjeux contemporains, au premier rang desquels les transformations environnementales et numériques, les évolutions de l’action publique et la lutte contre les inégalités et les discriminations. Condition indispensable de la démocratie et du progrès social, la défense de la liberté académique figure au cœur de son projet universitaire. Chaque année, l’institution forme 15 000 étudiants dont 50% d’internationaux sur sept campus (Dijon, Le Havre, Menton, Nancy, Paris, Poitiers, Reims) au sein d'un Collège universitaire de premier cycle et dans sept écoles au niveau Master (affaires internationales, affaires publiques, droit, journalisme, management, recherche, urbanisme). 3 500 professionnels suivent également une formation continue. Contact presse : Romain Becker : media@sciencespo.fr / 01 45 49 50 79